Notre vision

Tous en route vers 2030 : un aperçu de la Vision 2030 du Groupe BPCE et de ses entreprises
Homme 1 : Pour moi, le Groupe BPCE, c’est 100 000 collaborateurs, 22 % de l’économie française financée, les métiers de banque de proximité et d’assurance avec Banque Populaire et Caisse d’Epargne et les métiers mondiaux de Natixis. Voilà, pour moi, c’est ça BPCE.
Femme 1 : Moi, je dirais aussi qu’on a des marques qui ont plus de 200 ans d’existence et en même temps on est un groupe jeune qui a tout juste 15 ans mais qui a démontré sa solidité financière. Maintenant, c’est la suite de l’histoire qu’il faut écrire, notre vision à 2030.
Femme parlant anglais et sous-titrée en français : Attendez, si on veut se projeter dans l’avenir on ne peut pas ignorer les changements en cours dans la société : le climat, la démographie, la révolution technologique, l’intelligence artificielle, la géopolitique…Il faut en tenir compte pour bien répondre aux attentes de nos clients.
Homme 2 : D’autant plus que notre projet stratégique, il n’est pas sorti de nulle part. On a réfléchi avec les entreprises du groupe, avec les dirigeants, avec les équipes à ce que sera le monde demain. C’est un projet collectif.
Femme 2 : Et puis on a besoin de parler de l’avenir de nos entreprises avec des mots simples, faciles à retenir. Dire que la vision du Groupe BPCE en 2030, c’est à la fois un esprit, une mission et une trajectoire.
Homme 1 : Un esprit, ça veut dire qu’on est un groupe fier de sa diversité. On a des marques puissantes : Banque Populaire, Caisse d’Epargne, Natixis. On a des marques reconnues par nos clients et pour 2030, l’idée, c’est d’aller encore plus loin de faire vivre toute cette diversité pour en tirer plus de valeur.
Femme 2 : Et aller plus loin, c’est travailler sur l’impact de nos activités, notre impact à nous et celui de tous nos clients, des particuliers aux grandes entreprises. L’impact environnemental, sociétal, c’est très large. Cette idée d’impact, elle est au cœur de notre modèle coopératif.
Homme 2 : Ce modèle, n’oublions pas qu’il est porté par des femmes et des hommes. Ce qu’on nous propose dans le groupe, c’est de vivre un parcours qui nous marque et qui nous enrichit où qu’on soit. C’est valable pour les collaborateurs comme pour les sociétaires.
Femme 1 : Et puis, il y a notre mission : permettre à nos clients d’aborder l’avenir sereinement et en confiance. Et ça, c’est très concret. Par exemple, le logement, qui est souvent le grand projet de vie de nos clients, et puis, c’est financer les entreprises, les infrastructures et les territoires pour les aider à être plus performant et plus compétitif.
Femme parlant anglais et sous-titrée en français : C’est pour cela que nos clients ont besoin d’un banquier-assureur capable de les accompagner, de protéger leur patrimoine, leur épargne, leurs données. Un vrai partenaire de confiance et ça, ça nous ressemble.
Homme 1 : En 2030, nos clients auront le choix : le choix de l’humain, le choix du digital, la possibilité de combiner les canaux. On leur proposera des expériences enrichies en intégrant de l’intelligence artificielle avec toujours le même objectif : la qualité du service, la satisfaction des clients.
Homme 2 : Esprit, mission : OK. Maintenant la trajectoire…La question : c’est comment notre modèle qui a fait ses preuves continue d’être un modèle gagnant sur le long terme.
Femme parlant anglais et sous-titrée en français : Et justement, notre projet stratégique est un projet de croissance. Nous allons nous développer dans trois cercles : la France, l’Europe et le monde. Par exemple, en France, nous voulons devenir la banque de 1 Français sur 4 et la première banque des professionnels et des entreprises.
Femme 1 : Et pour y arriver, ça veut dire être un groupe ouvert qui s’engage, par exemple, dans des partenariats de distribution ou qui s’allie avec d’autres pour aller plus loin sur l’innovation.
Femme 2 : C’est une trajectoire qui dépend quand même de notre performance, opérationnelle, commerciale, financière et qui s’inscrit dans le temps.
Jeune homme : Moi, j’ai créé mon entreprise et je suis client de la Banque Populaire.
Jeune femme : Et moi, je suis cliente de la Caisse d’Epargne depuis mes études. Alors, si votre idée c’est de vous développer, mais en restant proches de vos clients…
Jeune homme : Et que vous êtes capables d’anticiper nos demandes et nous aider à avoir confiance en l’avenir, je crois bien qu’on resigne pour 2030. Hein ? Qu’est-ce que t’en penses ?
Jeune femme : oui