30/06/2025
En tant qu’assureurs, nous savons que nos échanges avec nos clients se déroulent fréquemment dans des moments particulièrement éprouvants. Ces situations délicates nous offrent l’opportunité de démontrer la qualité de nos garanties et le niveau d’expertise de nos chargés d’indemnisation. C’est précisément dans ces moments de vie, parfois tragiques, que notre engagement prend tout son sens : être créateur de sérénité.
Afin de mesurer l’impact de nos engagements en matière de qualité de service, nous avons tendu le micro à des victimes d’inondations. Ces sinistrés ont accepté de partager avec nous leurs histoires, et la manière dont BPCE Assurances IARD les a accompagnés dans la gestion de leurs sinistres. Ils reviennent sur leurs échanges avec nos équipes d’experts et soulignent leur réactivité et leur empathie à chaque étape de ce parcours.
Leurs témoignages, empreints d’émotion et de sincérité, révèlent les défis auxquels ils ont dû faire face. Chaque histoire est unique, mais toutes illustrent notre engagement : être un partenaire sur lequel ils ont pu compter dans ces moments difficiles. Nous établissons une relation de confiance pour ne pas complexifier ces instants déjà difficiles.
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Suite aux inondations qui ont frappé les Hauts de France, BPCE Assurances a réuni des sinistrés pour parler prévention.
Jérôme Regnier : J’ai été sinistré dans la nuit du 10 au 11 novembre 2023 et début janvier 2024. Et en fait, j’ai eu pas mal d’eau, j’ai eu 30 cm d’eau dans la maison, 80cm dans le garage.
Stéphanie Rousselle – Directrice d’agence Caisse d’Epargne Hauts de France et sinistrée : On a été touchés plusieurs fois, donc début novembre deux fois, à deux trois jours d’intervalle. Ensuite, en janvier, c’est toute la cave qui a été inondée, jusque quasiment le rez-de-chaussée, et on a, en fait, tout le terrain qui a été inondé, parfois jusqu’à deux mètres. C’est très stressant et le traumatisme demeure longtemps.
Carole Carvalho : Il n’y avait plus rien. J’ai tout perdu. Moi, ce qui me fait mal, c’est les souvenirs. Et puis, rebelote le 3 janvier. Donc là, le 3 janvier, ça a été infernal : la boue, ça remontait par les toilettes, par la douche, un mètre soixante dans la cave, un mètre dans la maison. C’est horrible, horrible. Je vous assure que j’ai peur.
Adeline Blary : Je pense qu’il y a plein de choses qui se bousculent dans la tête. Quelles démarches on va devoir faire ? Qui on doit appeler ? Comment ça va se passer ? Notre maison est récente, elle n’a même pas dix ans. Donc qu’est ce qui va se passer et comment ça va se passer ? Eh oui, le lendemain quand tout est parti, c’est le choc. Il va falloir tout nettoyer, refaire les travaux, recommencer. Et la deuxième inondation, je pense que c’est le coup de grâce, comme on dit.
Stéphanie Rousselle : Je suis conseillère bancaire à l’agence de Lumbres et donc je connais les deux côtés. Ça permet d’être beaucoup plus objective et je pense avoir des conseils plus pertinents.
Jérôme Regnier : Dès que je contactais la compagnie d’assurance, on m’envoyait directement une réponse, assez rapidement. Et si j’avançais de l’argent, j’envoyais la facture par mail avec mon numéro de sinistre et le lendemain même c’était viré sur le compte.
Adeline Blary : Donc ça a été long, ça a été des moments compliqués, mais ça s’est plutôt bien fini dans l’ensemble.
Stéphanie Rousselle : A chaque fois que l’on a appelé les services ils étaient réactifs, que ce soit par mail, par téléphone. Si on ne pouvait pas les joindre, on laissait un message, ils nous recontactaient. Donc c’est vrai qu’à ce niveau là, il n’y a pas de souci. Ils nous ont toujours bien expliqué : La prise en charge, les garanties qui existent sur les contrats, et c’est ce que je dis toujours, c’est dans ces cas-là qu’on voit si on est bien assuré ou pas.
Jérôme Regnier : En fait, je me dis que je paie une assurance et que mon assureur est là pour moi.
Nos clients témoignent
Des victimes d’inondations partagent leur expérience avec BPCE Assurances IARD.